FLAMBÉE DÉLIRANTE DE LA CENSURE FASCISTE

 

Allons-nous enfin comprendre qui sont les vrais fachos dans l'histoire abracadabrante que nous compte la Propagande !?!?

" Un coup d'État " qui ressemble bien plus à une action commanditée de dernière minute et plutôt foireuse, mais qui a quand-même coûté la vie à cinq personnes, ce qui ne gêne aucunement ces individus qui gouvernent en coulisse.

Car franchement, posons-nous toujours les bonnes questions : quel intérêt aurait eu Mr Donald Trump a fomenter une telle réunion de partisans déambulant dans le Capitole et faisant les pitres sur les bureaux du bâtiment ??? Franchement ...

Un coup d'État, cela !?!? Aurions-nous oublié ce qu'est réellement un coup d'État ??? Serions-nous devenus si bêtes que cela !?

Mr Trump avait juste demandé à ce que ses partisans se rassemblent autour du Capitole afin de le soutenir, ce qui semble beaucoup plus censé et ce qui n'est pas interdit par la loi jusque-là. Et il a d'ailleurs appelé au calme quand il a appris que les choses s'étaient malheureusement gâtées, alors que cette vidéo a été supprimée dans la minute par les chefs de la censure, étonnant, n'est-il pas !?

Et ensuite, des milliers et des milliers de comptes supprimés d'un coup d'un seul sur les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook, et même des serveurs entier comme " Parler " qui sautent en un clic, étonnant aussi, n'est-il pas !?

 Bien-sûr, la Propagande tente désespérément de justifier de tels agissements totalement anti-démocratiques par tous les moyens, d'où ce long plaidoyer sur France-info, aujourd'hui, Jeudi 14 Janvier 2021 :

 

Le patron de Twitter défend le bannissement de Donald Trump du réseau, mais estime qu'il crée un précédent "dangereux"

Twitter était le principal outil de communication du milliardaire républicain, qui s'en servait chaque jour pour s'adresser directement à ses 88 millions d'abonnés.

"Je ne ressens aucune fierté à l'idée d'avoir dû bannir @realDonaldTrump." Dans une série de messages publiés dans la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 janvier, le fondateur et patron de Twitter, Jack Dorsey, estime que la décision de bannir Donald Trump de la plateforme pour avoir encouragé les violences du Capitole était "la bonne". Il juge toutefois que ce choix constitue un "échec" et "établit un précédent" qui lui semble "dangereux" par rapport au pouvoir détenu par les grandes entreprises.

C'est un "échec de notre part à promouvoir une conversation saine" et ce genre de mesures "nous divise. Elles limitent les possibilités d'expliquer, de se racheter, d'apprendre", a-t-il continué.

Twitter était le principal outil de communication du milliardaire républicain, qui s'en servait au quotidien pour s'adresser directement à ses 88 millions d'abonnés. Il a aussi été suspendu de Facebook, Snapchat, Twitch et, depuis mardi, de YouTube pour une semaine. La plateforme de vidéos de Google faisait face à une pression croissante d'ONG et de personnalités.

Les comptes affiliés à QAnon supprimés

"Cela établit un précédent qui me semble dangereux : le pouvoir qu'un individu ou une entreprise a sur une partie de la conversation publique mondiale", admet Jack Dorsey dans ce monologue introspectif. Il souligne que l'équilibre du pouvoir était respecté tant que "les gens pouvaient simplement aller sur un autre service, si nos règles et notre application des règles ne leur convenaient pas".

Mais "ce concept a été remis en cause la semaine dernière quand un certain nombre de fournisseurs essentiels d'outils sur internet ont aussi décidé de ne pas héberger ce qu'ils trouvaient dangereux", reconnaît-il.

Je ne crois pas que [le choix fait par les grandes plateformes de mettre au ban Donald Trump] était coordonné. Plus probablement : les sociétés sont arrivées à leurs propres conclusions ou ont été encouragées par les actions des autres.

Jack Dorsey

sur Twitter

En plus de sa mesure phare, Twitter a supprimé ce week-end 70 000 comptes affiliés à QAnon, une mouvance complotiste pro-Trump impliquée dans l'invasion du Capitole qui a perturbé la cérémonie de certification de la victoire de Joe Biden mercredi dernier.

Quand Donald Trump a tenté vendredi de répliquer à la suspension de son compte personnel via le compte officiel POTUS (Président des Etats-Unis), à l'attention des "75 millions de patriotes" qui ont voté pour lui, ses messages ont immédiatement été retirés par le réseau social. "Utiliser un autre compte pour éviter la suspension est contre nos règles", avait alors expliqué un porte-parole de la société.

https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/le-patron-de-twitter-defend-le-bannissement-de-donald-trump-du-reseau-mais-estime-qu-il-cree-un-precedent-dangereux_4257041.html

article non fini, à suivre ...

 

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