Dr Tadeusz Nawrocki Conséquences indésirables
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L’arrivée du vaccin dit à ARN messager de Pfizer, un vaccin à « acide nucléique » premier de son genre, issu des biotechnologies, contre la covid-19, n’a pas été sans susciter de nombreuses questions teintées d’inquiétude. Elles concernent deux points en particulier : cet ARN inoculé peut-il se transformer en ADN et intégrer le génome de l’hôte ? Si ce vaccin modifie l’ADN, quels sont les effets potentiels à long terme sur la santé, et ses répercussions sur la descendance ?
Ce sont des questions justes*, que se propose d’explorer Jean-Yves
Bilien dans ce reportage qui nous invite à un voyage passionnant au
cœur de la biologie moléculaire, guidé par le Dr Tadeusz Nawrocki,
spécialiste en la matière et dont les travaux se sont intéressés de très
près aux virus à ARN, dont fait partie le SARS-CoV2, responsable de la
Covid-19.
Ces questions sont souvent écartées, minimisées, voire moquées par
les différents « experts » invités à s’exprimer sur le sujet dans les
colonnes des journaux ou sur les plateaux TV.
Mais ils sont formels : il est impossible que l’ARN se transforme
en ADN. Le processus suit un chemin précis qui ne peut pas se faire en
sens inverse.
Pour
nous permettre de comprendre tout ce qui se joue et les implications
potentielles sur l’ADN de l’hôte d’un vaccin contenant des petits
fragments d’ARN viral, le Dr Tadeusz Nawrocki nous explique en détail le
fonctionnement de la biologie moléculaire : l’ADN, l’ARN, les
différents ARN, dont le messager, les mécanismes de
duplication-transcription-trad
Le Dr Nawrocki commence par démonter le paradigme « has been »
depuis 40 ans qu’est le dogme central de la biologie moléculaire, énoncé
pour la première fois par Francis Crick en 1958, et selon lequel l’ADN
produit l’ARN et l’ARN produit la protéine. Une fois que
« l’information » est passée par la protéine, elle ne peut plus en
sortir. Le mécanisme de la traduction est strictement irréversible, a
ajouté Jacques Monod en 1970.
Il
n’est ni observé, ni d’ailleurs concevable que de « l’information »
soit jamais transférée dans le sens inverse, c’est-à-dire de protéine à
ADN. Pourtant la même année, un scientifique américain, Howard Temin (Prix Nobel 1975), faisait
la découverte d’une enzyme très particulière : la transcriptase
inverse, permettant à certains virus de fonctionner « à l’envers »,
qu’il appellera de ce fait des rétrovirus : c’est leur ARN qui se
transformera en ADN et non l’inverse quand ils infectent une cellule.
Quelques mois plus tard le Dr Mirko Beljanski (avec lequel le Dr Nawrocki à collaboré 22 ans) mettait
en évidence la transcriptase inverse chez les bactéries. Enfin, la
détection de cette enzyme dans les cultures de cellules infectées a
permis la découverte du VIH, en 1983.
Donc, ce n’est pas impossible.
Le Dr Nawrocki nous parle avec précision de l’ARN messager et nous
explique pourquoi cette appellation est utilisée pour le vaccin. L’ARN
messager est en effet le seul à ne pas pouvoir véhiculer une information
qui serait transcrite en ADN. La plupart des autres ARN identifiés du
cytoplasme savent utiliser les mécanismes décrits pour remonter à l’ADN
du noyau, or il ne l’est pas parce que c’est un modèle d’ARN
transformant, les ARN transformants déclenchent la réplication de l’ADN,
ils sont appelés pour cela ARN amorceurs.
Ainsi, le Dr Nawrocki invite à se poser des questions
fondamentales sur la fabrication des vaccins, notamment ceux obtenus par
génie génétique, et tout récemment par les ARN dits messagers,
« véritables systèmes OGM », pouvant induire, par exemple, des
segments aberrants d’ADN dans les cellules hôtes. Qu’en sera-t-il de cet
ADN dégradé ou des fragments d’ARN libérés, qui entraînent autant
d’activités incontrôlables, ceci en fonction de notre mimétisme
moléculaire HLA spécifique, viral et microbien ?
Enfin, la découverte récente par le bio-informaticien Chase W.
Nelson, en octobre 2020, d’un gène mystérieusement caché dans la
Covid-19, alors que cela fait des mois que des centaines d’équipes à
travers le monde scrutent le génome du coronavirus, sans l’avoir
détecté, invite à quelque modestie et surtout beaucoup de prudence aussi
bien de la part de la communauté scientifique que des autorités
sanitaires.
Ainsi, plutôt que la vaccination, conclut le Dr Nawrocki, il est
préférable d’envisager une stratégie d’ensemble. Dans la lutte contre
les virus, il faut à la fois entraver le virus lui-même, bloquer sa
multiplication, bloquer les enzymes de transcription et/ou d’intégration
dans la cellule hôte.
Cette autre orientation thérapeutique existe, élaborée sur la base
de substances naturelles et consistant dans l’action conjuguée de
trois principes actifs.
Cette mise en bouche étant faite, vous pourrez découvrir, en
visionnant ce reportage de Jean-Yves Bilien, les détails des différents
rouages pour un jugement éclairé.
* Selon les termes du Dr Doug Corrigan, docteur en biochimie et en
biologie moléculaire, cité en ouverture de ce reportage de Jean-Yves
Bilien.
Un article de Myriam Marino 22 Mars 2021
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