ÉCONOMIE POLITIQUE / FARCE ÉTATIQUE / ANGOISSE CAPITALISTIQUE
ÉCONOMIE POLITIQUE
Comme dirait notre ami Francis Cousin, nous ne cesserons de dénoncer et de répéter le même message puisqu'il est le centre de tout et fait Lumière à tout Esprit qui sait l'entendre, ici le message que Marx nous a livré par l'intermédiaire de Mr Cousin et que nous pouvons nous-mêmes vérifiés ( pour ceux qui sous-entendent qu'il s'agit-là d'une mauvaise interprétation des textes de Marx ) en ouvrant seulement quelques pages de l’œuvre de Karl Marx pour y lire des phrases comme " À bas l'État " ou " À bas l'argent " ou " À bas l'économie politique " ou " À bas l'esclavage salarial " ou encore " retour à la communauté humaine " ou encore " l'argent est un rapport social " pour comprendre très rapidement de quoi il retourne sans pour autant avoir fait Saint-Cyr ou, en d'autres termes, avoir un gros bagage intellectuel ; c'est à la portée d'un enfant de 10 ans.
Nous pouvons aisément comprendre à travers ces quelques sentences ce que veut signifier Marx par là, c'est à dire, c'est bien l'économie, donnant naissance à la politique du même coup, et devenant alors une économie politique ( c'est donc presque un pléonasme ou une redondance ), qui va broyer nos vies et les rendre insipides, " hors-sol ", angoissantes, stériles, invivables, étouffantes, car l'argent n'est pas seulement un outil comme beaucoup le pensent ( ou le pensaient, comme nous-mêmes il y a quelques années ) mais bien-plutôt un rapport social, qui nous amène à découper la vie en parties monnayables, achetables ou vendables, en quantité plutôt qu'en qualité, en Avoir plutôt qu'en Être.
Et de l'économie politique va naître à son tour l'État et la notion de Peuple en réponse, faisant alors disparaître dans les bas-fonds de la mémoire collective celle de Communauté. Et l'État, comme guide suprême de cette même économie politique n'aura alors de cesse de la servir tout en feignant de se préoccuper du dit Peuple, ce qui se déclinera dans le temps en dite démocratie, stade ultime de la dictature marchande malgré les apparences trompeuses. Pour comprendre cela, il nous faut tout d'abord voir que l'économie politique, le Capital, dès son premier germe est un mensonge fait à l'Humanité, une Grande Farce, une arnaque, un canular, une entourloupe, un vol, un cambriolage, un casse, et elle n'est pas dû au diable mais bien plutôt à un mode de relations qui s'est transformé en une relation à la mode, où le don a muté en échange, en troc, puis en commerce, en économie, et où la marchandise a fini par vampiriser le monde.
" Dans le premier troc, vous avez tout Wall Street en gestation " Francis Cousin
Dans les premières communautés, la notion de marchandise n'existe pas, et cela nous pouvons encore le constater en nous intéressant aux communautés encore vivantes comme les tribus amazoniennes ou autres. Ces tribus ne connaissent donc pas la notion de propriété, tout appartient au dive * de la vie, même si au jour d'aujourd'hui, celles-ci ne sont pas intactes du passage du Capital ayant tout vampirisé. Revenir à la Communauté ne signifie donc pas retour à l'âge de pierre, comme certains s'amusent à le claironner bêtement sans comprendre, mais bien plutôt revenir au principe essentiel de la communauté qui est le don de soi, en d'autres termes, l'Amour.
Comprendre cela n'est pas sorcier, n'est-il pas, ce qui est parfois difficile à comprendre chez Marx, c'est comment nous en sommes arrivés là, c'est à dire toute la longue dialectique historique de la marchandise en mouvement qui produira sur son passage la politique, les religions, les sciences, la philosophie, l'État, la démocratie, le travail, l'armée, la justice, la police, l'école, l'Art, etc etc ...
Et Marx passa son temps dans les bibliothèques à fouiller dans les livres, dont certains traitant d'anthropologie et d'archéologie, pour découvrir que les premières communautés pratiquaient le don quand elles se côtoyaient et qu'au fur et à mesure, sur un temps assez long tout de même, ce don s'est petit à petit transformé en échange.
Tout s'explique ...
Ensuite
échange, troc, commerce, première comptabilité, écriture comptable se
déclinant en plusieurs volets jusqu'à sa controverse l'écriture
émancipatoire, religions comme une quête pour retrouver les restes du dive
de la
vie, le sacral, perdus avec l'explosion des communautés, éparpillés, et
réunis dans
des livres comme la Torah, la Bible, le Coran, le Mahabharata, et bien
d'autres encore dont les Royaumes ont usé pour régner, telle une
première
Propagande ( et notez bien que la PEUR est déjà l'arme de ces
Propagandes Légendaires ), et puis Empires, Royaumes, Invasions
barbares, loges maçonniques, Révolution Française, Sociétés et sociétés secrètes, Démocraties, Organismes Mondiaux, hégémonie ( génitif ) de la marchandise,
et Nouvel Ordre Mondial !!!
Fin de la dialectique capitaliste.
Faut-il que nous allions jusqu'au bout du bout ???
Avant de rebondir !!!
Ou pourrions-nous éviter de toucher le fond avec la tête avant de refaire surface !?!?!?
FARCE ÉTATIQUE
Toujours est-il que l'État n'est donc rien d'autre qu'un outil de l'économie politique et à son service, et n'est aucunement ici et maintenant
conçu pour promouvoir l'Amour de l'humanité mais bien plutôt pour
sauvegarder en toute sécurité l'économie marchande et la rendre toujours
plus opérante et efficace. Croire que l'État nous veut du bien
est donc un leurre de toute évidence, même quand il a pris la parure
d'une démocratie, ce nous avions nommé il y a déjà fort longtemps " La démoncratie " de manière imagée, ou comme Mr Cousin le dit autrement très bien : " stade supérieur ultime de la dictature marchande ".
" La plus grande ruse du diable, c'est de nous faire croire qu'il n'existe pas "
Déclinons-cela en " la plus grande ruse du Capital, c'est de nous faire croire qu'il n'existe pas " grâce à la dite démocratie qui n'est qu'un leurre, une fois de plus, pour cacher les vrais ficelles du jeu.
Car le Capital n'aura eu de cesse de jeter des leurres sur sa route, dans sa longue et tumultueuse expansion ; comme le dit à sa manière Roch Saüquere, que nous apprécions beaucoup pour les interrogations qu'il porte sur certains sujets à la manière d'un commissaire Maigret, et non pour sa théorie des cycles de mille ans un peu farfelue à notre humble avis, il faut comprendre que le menteur est obligé de mentir à nouveau pour ne pas se faire attraper, et que les mensonges vont donc s'accumuler se faisant toujours plus gros, plus énormes, une lasagne de mensonges, une soupe de mensonges toujours plus indigeste jusqu'au jour où le mensonge est tellement gros que tout le monde le voit ; comme aujourd'hui, n'est-il pas !?
La Farce Étatique de la marchandise en mouvement devenue mondiale, devenue alors Grande Farce, butte sur sa propre économie politique au point d'en devenir absurde et ridicule à la fois, une véritable tragi-comédie, avec une bonne pointe de cynisme ; cela fait tout de même plus d'un an qu'une majorité d'individus supportent encore le masque sans rechigner et voire même le réclament ardemment alors que les obligations sont levées à l'extérieur.
On croirait rêver !!!
On est sur une autre planète !!!
" Allo, Houston, ici la base, vous me recevez " ???
Une fin du monde surjouée !!!
Nous n'avons cessé de le dénoncer depuis que nous avons compris cette supercherie Capitalistique de plus , celle de surjouer comme une fin du monde ( le monde en feu ou sous les eaux, le terrorisme, et maintenant le virus et ses variants ) afin de faire advenir leur Nouvel Ordre Mondial, sachant que cela hypnotiserait tous les croyants de la terre, du moins tout ceux qui croient en une fin du monde pas très heureuse. Et ça fonctionne ... la magie noire opère ... certains tombent dans le panneau allégrement ... d'autres voient la supercherie :
Anticyclone " Lucifer ", Appelez le 0800 06 66 66
D'autres ne remarquent rien, ne comprennent rien, ne se doutent de rien, et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
ANGOISSE CAPITALISTIQUE
En faisant l'expérience dite " spirituelle " de tout lâcher, de lâcher prise sur les choses du Capital en, par exemple, coupant cours à toutes les médiations de l'économie politique pendant un certain temps, voire un temps certain, en faisant silence, pour se retrouver avec soi-même sans les interférences extérieures de cette même économie politique, il est possible de regagner le cœur du dive de la vie, de ressentir à nouveau toute la Magie de la vie nous transporter, cette joie incommensurable.
Le dive nous est tombé sur la tête !!!
Et à partir de là, il est donc aussi facile de saisir l'impact néfaste et délétère que toutes ces médiations produisent sur nous. Tout ce que nous regardons sur des écrans, tout ce que nous lisons dans des bouquins ne sont pas la vie réelle, " ici et maintenant ", mais simplement une médiation de celle-ci, et quand il s'avère que cette même médiation est mortifère à souhait, anxiogène, angoissante, car elle n'est que le reflet du Capital en devenir constant, c'est à dire la mort, la guerre, le crime, elle n'est donc pas bonne pour notre santé psychique, et voire par rebond pour notre santé physique. Il y a donc une grande différence entre chercher de l'information vraie ( qui, certes, peut aussi être anxiogène à son tour, car comprendre les dessous du Capital n'est pas non-plus spécialement une promenade de santé dans un premier temps ), et rester hypnotisé devant des programmes anxiogènes toute la journée sans saisir pourquoi, que ce soit sous la forme de séries télévisées, de films, de documentaires ou aussi bien de livres ; se divertir avec la mort, car c'est bien de cela dont il s'agit :
un individu hypnotisé par le grand Spectacle Marchand de l'illusion télévisuelle est enfermé dans un monde virtuel mortifère ; il a une relation exacerbée avec la mort du fait que celle-ci ne cesse de pénétrer dans son champ de médiation,
alors que dans la vie réelle, la mort ne fait pas irruption si souvent ;
notez bien que même à travers un documentaire animalier la mort est
présente toutes les dix minutes, orchestrée comme il se doit, d'une
musique mineure sur le mode anxiogène. Cela n'est pas un complot,
seulement une manière innée d'opérer du mode capitaliste qui devient alors sa
marque de fabrique.
Culture : Il y a une différence entre s'émanciper et s'aliéner !!!
La mort pousse à la vie tandis que la vie mène à la mort. Il nous faut voir la vie et la mort comme deux forces en mouvement permanent sans pour autant que la mort prenne le dessus sur la vie et rende celle-ci angoissante, car cela n'est qu'un effet, un dégât collatéral dans la trajectoire du Capital, qui transporte en lui Thanatos puisqu'il est le germe d'un mensonge fait à l'Humanité, d'une trahison qui aboutit finalement à la mort du prochain pour asseoir son Pouvoir. C'est la raison pour laquelle le Capital n'a eu de cesse de faire une fixette sur la mort dans tous ses apparats, la mort sous toutes ses coutures, la mort dans toute sa splendeur, la Peur de la mort exacerbée à son maximum, nous rendant par là-même malade de la Vie.
Un individu qui a redécouvert le dive de la Vie ne pense plus à la mort, il n'y songe plus, il est ancré et centré dans la Vie d'où cette joie qui abonde de tous les côtés, et ce qui ne l'empêche pas de dénoncer par ailleurs l'usage exécrable que le Capital fait de son commerce de la mort, si visible au jour d'aujourd'hui, sans en être impacté lui-même ( ou peu car la limite est parfois ténue ). C'est le cas de bon nombre de dits " complotistes " que nous connaissons aujourd'hui, qui ont tous connu une forme d'éveil dit " spirituel " ou aussi " intellectuel " à leurs manières, et ont retrouvé un goût à la Vie qui dépasse et de loin la simple peur de mourir, ce qui leur permet plus facilement de remuer la merde mortifère de cette économie politique sans suffoquer pour autant derrière un masque.
Nous
rendons d'ailleurs grâce ici, à tous ces gens, souvent malmenés et
stigmatisés, conspués et calomniés, ostracisés et insultés, qui se
seront battus pour un retour à la vraie vie, chacun à sa manière, avec ses qualités et ses défauts, personne n'étant parfait.
Le Capital n'aura eu de cesse de nous angoisser, et cela est somme toute assez logique car la Peur est le moteur de toute son expansion. Le Capital agite à tout moment la peur de mourir pour nous soumettre à chacune de ses nouvelles prérogatives, de ses nouvelles réformes, de ses nouvelles révolutions, et aussi de ses guerres, de ses " grandes réinitialisations " ou encore " great reset ", et nous répondons présents à chacune de ses injonctions tant que nous-mêmes ne sommes pas libérés de cette peur. Aujourd'hui, le phénomène est plus que visible, il suppure de partout, il traverse même l'écran pour se jeter à la face des individus qui se sentent alors obligés de se masquer de peur qu'un méchant petit virus invisible ne les attaque, au point de moins bien respirer, ce qui pourtant semble être le B A BA de la vie sur terre,
respirer, inspirer ...
N.B.
importante : Vous remarquerez le même procédé utilisé par le Capital
afin de nous berner ces deniers temps, c'est le coup de l'ennemi invisible,
et qui dédouane par la même occasion de toutes responsabilités, qui
justifie d'être dans l'obligation d'agir ainsi, d'appliquer tel ou tel
programme, car même Ben Laden dans ses grottes ne devait pas représenter
grand chose aux yeux du grand public aliéné par les forces marchandes.
Et de toute évidence le réchauffement climatique tout comme le méchant
virus restent des énigmes, des choses que nous ne pouvons nous
représenter aisément. C'est bien l'ennemi invisible par excellence.
CONCLUSION
Et si nous étouffons, c'est bien le signe évident que le Capital est à l'agonie, à bout de souffle, quand il ne lui reste plus comme solution finale que de nous masquer et de nous enfermer dans un carcan phénoménal de lois castratrices et liberticides, dans le télétravail qui serait la forme supérieure ultime du travail la plus avilissante sans que les individus ne saisissent vraiment pourquoi ; parce qu'il est l'enfermement sur soi-même, l'Enfer.
" Le Capital ne redémarre pas " ( Francis Cousin ) et il ne redémarrera pas non-plus, quoique que les autorités en place nous bernent de nouveau avec le leurre d'une croissance à 6% ( Dites 666, ça ira mieux après ... ), c'est donc pour lui la seule solution pour tenter de faire perdurer son économie politique en déconfiture un peu plus, par la méthode Totalitaire, c'est son dernier, seul et unique choix, et c'est aussi la raison pour laquelle tout cela était prévisible. Même des textes anciens de toutes formes, religieux ou pas, nous en informent à leurs manières, car bien des gens avaient perçu, peu importe la forme de transmission, ésotérique, religieuse, magique, ou intellectuelle, une fin à tout cela, la fameuse fin des temps, la terrible fin du monde, qui n'est qu'une fin à tout ce processus en dialectique de l'économie politique, car c'est là tout le déterminisme du Capital qui peut aisément se comprendre comme étant une machine infernale que rien ne peut arrêter, pas même des insurrections, des révolutions, des communes, tant qu'elle n'a pas accompli son but ultime, qui n'est pas de vampiriser et dévorer la planète entière bien que cela passe inévitablement par là par déterminisme mais bien plutôt de s'auto-dévorer ; le but ultime du Capital est de s'auto-détruire, in fine, il porte en lui le germe de sa propre mort, il est destiné à mourir. Et à entraîner avec lui dans sa chute tous ceux encore accrochés au navire pensant que celui-ci les ramènera sur la rive tandis qu'il coule allègrement par les deux flancs.
" CONTRE LE MENSONGE ÉTATIQUE DE LA TYRANNIE SANITAIRE DE LA BAISSE DU
TAUX DE PROFIT, LES SEULS VRAIS VIVANTS SERONT CEUX QUI LUTTENT
VÉRITABLEMENT POUR L’ABOLITION DE LA MARCHANDISE ! " ( guerre de classe / Francis Cousin )
D'ailleurs
Francis Cousin a aussi le chic de nous retransmettre des textes,
aujourd'hui, concernant la Commune, qui remettent au goût du jour les
évènements leur donnant un certain écho avec les actualités du moment,
l'histoire se répétant tout en se réactualisant, comme ici un texte de
Marx sorti de " La guerre civile en France - III " qui nous renseigne sur les " laquais de presse " du moment et du " ton d'oracle de l'infaillibilité scientifique " aussi et déjà employé à cette époque :
" Dans la pleine conscience de sa mission historique et avec la résolution héroïque d’être digne d’elle dans son action, la classe ouvrière peut se contenter de sourire des invectives grossières des laquais de presse et de la protection sentencieuse des doctrinaires bourgeois bien intentionnés qui débitent leurs platitudes d’ignorants et leurs marottes de sectaires, sur le ton d’oracle de l’infaillibilité scientifique. "
L'Histoire du Capital se répète tout en se transformant, ne pouvant devenir que toujours plus angoissante et mortifère à la fois, puisque son moteur de soumission se nourrit de la peur de mourir, et il est assez simple de pouvoir identifier ce mouvement dialectique aujourd'hui puisque il serait devenu mondial, c'est soi-disant le monde entier ( car ce n'est pas tous les individus ) qui aurait peur de mourir du même phénomène.
La peur de mourir mondialisée, rendue à son apogée ; le mondialisme des forces marchandes de la peur de mourir.
Il nous faut donc cesser d'avoir peur de mourir, ce qui est une manière d'abolir le Capital, et vivre de nouveau dans le dive de la vie, tout simplement ...
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