C'est en poursuivant notre épopée lunaire diffusée par la NASA que nous finissons par comprendre les ficelles utilisées par ces prestidigitateurs de l'image. Par exemple, nous constatons tout d'abord que les vidéos qui sont dites être des " directs " restent en ligne et peuvent être revisionnée aussitôt, à croire qu'ils sont sûrs de tous les montages pour rediffuser un direct dans la foulée. Le deuxième élément troublant qui a fini par nous sauter aux yeux est le fait qu'il ne s'agit toujours que de séquences cinématographiques entrecoupées de commentaires, d'interviews, d'exposés, et bien-sûr de "blackout" des communications. Des séquences, courtes, dépassant rarement les 30 secondes. N'est-ce pas là un bon procédé cinématographique qui évite de longues séquences qui auraient pu être plus compliquées à rendre crédibles !? Ensuite, il y a toutes les incohérences ; en fait, la NASA, c'est un peu comme le 11 Septembre 2001, qu...
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