FESTIVAL DE CANNES : INTERVENTION DE JEAN-LUC GODARD SUR FACEBOOK
Article tiré de ERFM
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Quand-Jean-Luc-Godard-epingle-Zelensky-au-Festival-de-Cannes-68308.html
" L’intervention de Zelensky au festival cannois va de soi si vous
regardez ça sous l’angle de ce qu’on appelle « la mise en scène » : un
mauvais acteur, un comédien professionnel, sous l’œil d’autres
professionnels de leurs propres professions. Je crois que j’avais dû
dire quelque chose dans ce sens il y a longtemps. Il aura donc fallu la
mise en scène d’une énième guerre mondiale et la menace d’une autre
catastrophe pour qu’on sache que Cannes est un outil de propagande comme
un autre. Ils propagent l’esthétique occidentale, quoi…
S’en rendre compte n’est pas grand-chose mais c’est déjà ça. La
vérité des images avance lentement. Maintenant, imaginez que la guerre
elle-même soit cette esthétique déployée lors d’un festival mondial,
dont les parties prenantes sont les États en conflit, ou plutôt « en
intérêts », diffusant des représentations dont on est tous spectateurs…
vous comme moi. J’entends qu’on dit souvent « conflit d’intérêt », ce
qui est une tautologie. Il n’y a de conflit, petit ou grand, que s’il y a
intérêt. Brutus, Néron, Biden, ou Poutine, Constantinople, l’Irak ou
l’Ukraine, il n’y a pas grand-chose qui a changé, mise à part la
massification du meurtre. "
et aussi
Malgré le carpet bombing des agents du Système, qui tentent de faire de Zelensky un résistant à un prétendu nazisme russe, ce qui n’a pas de sens, de plus en plus de voix se font entendre qui vont contre le narratif dominant, qui est pour le coup tellement idiot et faux qu’il est immangeable. Déjà, les populations occidentales avaient du mal à avaler le narratif covidiste, mais là, avec l’ukrainisme, cela fait deux fois plus de soupe nauséabonde.
Beaucoup de gens vomissent cette double propagande, mais ça n’a pas l’air de toucher les responsables, voyez l’autosatisfaction de l’ex-ministre de la Santé (du Big Pharma) :
Face à ce menteur au service du Big Pharma, nous avons jugé bon de diffuser ce thread d’une soignante courageuse, Cléo, qui ne s’est pas alignée sur l’infamie oligarchique.
A s s u me. On m’a répété ce mot des centaines de fois. Assumer ma décision de pas faire comme les autres, assumer de ne pas céder à un odieux chantage, assumer de savoir lire et de se poser des questions, assumer de demander le bénéfice risque à mon âge, assumer de refuser une injection dont on savait qu’elle serait multiple et ne protégerait pas de la contamination ni de la transmission.
Assumer. J’assume ma décision depuis maintenant plus de huit mois ainsi que ses conséquences : celle de ne plus faire partie d’un monde qui a bafoué tous les codes, celle de ne plus travailler avec ceux qui étaient prêts à refuser de soigner des personnes au nom d’une idéologie puante, violant le serment, l’éthique et la morale, celle de ne plus être aux côtés de ceux qui nous ont traités comme des déchets et qui sont aujourd’hui à bout. Plus aucun scrupule, plus aucune peine, plus aucun sentiment de culpabilité.
Aujourd’hui, j’ai honte de l’hôpital public, honte que la santé des français soit devenue politique et discriminatoire, honte que l’on régisse l’accès à l’hôpital à un pass qui n’est qu’une passoire. Honte de tous ceux qui se prétendaient humains et qui ont prouvé à quel point ils pouvaient être sans cœur envers leurs collègues. On nous a fait passer pour de mauvais élèves pendant que les soit-disant bons bossent en étant malades au contact des patients.
On nous a dénigrés, insultés méprisés, mais aujourd’hui je ne suis plus une victime du système. Je suis restée fidèle à moi-même, fidèle à ma liberté de décider de ne pas m’injecter à 4 reprises un produit qui ne sert qu’à en mettre plein les poches aux laboratoires. Je n’étais pas au contact des patients. Tout comme je n’étais un danger pour personne. La propagande médiatique, les médecins de plateaux pleins de conflits d’intérêts, l’ignorance et la peur n’ont été que des outils pour mettre en place la destruction de l’hôpital public et la privatisation des soins.
Aujourd’hui, plus d’une centaine de services d’urgence ont fermé leurs portes, faute de personnel. L’accès aux soins devient catastrophique, les déserts médicaux s’accentuent, les maternités ferment, les Urgences pédiatriques également. Assumez vos choix d’avoir soutenu cette politique discriminatoire. Assumez d’avoir oublié l’humain, l’entraide, la solidarité.
Aujourd’hui, certains en sont réduits à retourner leur veste, demandant la réintégration immédiate du personnel hospitalier suspendu, comme si nous étions des bouche-trous, des choses manipulables à souhait. Certains osent même affirmer publiquement que c’est nous qui sommes partis de l’hôpital alors que l’on nous a jetés comme des moins que rien. Ces mêmes personnes, aujourd’hui sur les plateaux TV, se lamentent de l’effondrement de l’hôpital alors qu’ils y ont eux-mêmes savamment participé.
Aujourd’hui, j’ai tourné la page de ce monde où je n’étais plus à ma place. J’ai toujours respecté le choix de chacun, la liberté de chacun, le corps de chacun. 14 mois se sont écoulés depuis mon covid extrêmement bénin, je n’ai pas été recontaminée depuis. Je ne compte plus les contaminations chez mes collègues triplement vaccinés, soumises aujourd’hui à la 4eme qui devient obligatoire, pas pour ne pas être malade, mais uniquement pour conserver son travail.
Ce monde est à présent derrière moi, un monde soumis à des injections répétés à vie, un monde sans cœur, sans humanité. Les trolls Twitter payés pour vomir la propagande gouvernementale diront une fois de plus « bon débarras ». À ceux-là je réponds simplement : oui vous avez raison, l’hôpital ne me mérite pas.
Je suis quelqu’un d’intègre. Je l’ai toujours été. J’ai toujours respecté la liberté de tout un chacun. Et c’est justement parce que je n’ai pas renié mes valeurs que j’ai été mise à la porte au nom d’un prétexte fallacieux. L’État m’aura certes tout pris, mais je me suis reconstruite.
Et le plus important, j’ai gardé ma dignité.
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